jeudi 4 septembre 2014

Entre Ensenada et Colonet

Le port moderne d'Ensenada est équipé pour recevoir les mastodontes de bateaux de croisière. C'est drôle de voir les touristes se déferler dans la petite ville. Ils font quand même un peu tache dans le décor. Pendant que Zim s'occupe de changer de l'argent dans une banque j'ai le temps d'assister à l'incendie d'un bar en centre ville. Los bomberos mexicains à l’œuvre, comment supportent-ils leur uniforme anti-feu par 30° à l'ombre?








Vers 13H on a faim et c'est dans un pueblo perdu que nous trouvons à manger un biftec mexicano dans un comedor en face de l'école. Faut bien s'y mettre à la bouffe locale. On ne pensait pas que la nourriture allait être aussi peu chère.






 Dans l'après-midi, plusieurs fois, ça grimpe pas mal, la chaleur s'accumule, pas trop de rafraichissement à cause du vent dans le dos. La Mex 1 n'est vraiment pas large là où la route n'a pas encore été refaite. La plupart des gros camions sont gentils avec nous et s'écartent un peu en nous dépassant. Par contre quand les camions se croisent ils remplissent la route à 100%, à nous de juger et de bouger pour s'échapper.






Le lendemain à San Vincente, mon vélo se réveille avec une crevaison. La chambre à air est dans un trop sale état, la réparation ne veut pas tenir, mon stock de rustines en prend un sacré coup. Le comble de l'histoire est que les 3 chambres de nous deux réunis ne valent rien...trop vieux, soupape foutue ou d'autres raisons...oui, c'est vrai, c'est pire qu' une histoire belge ordinaire...heureusement, chez le quincailler local je trouve mon bonheur!



De temps à autre de jolies vignes nous épatent, très bien entretenues, irrigation sophistiquée.



Ou des champs de cactées...






... Breaking Bad avec Walter et Jesse comme chimistes, ça vous dit quelque chose? J'ai trouvé le laboratoire!!!




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