vendredi 28 novembre 2014

Si Dios quiere todo es possible

Chose incroyable mais vraie, la saison des pluies, terminée au Salvador et Honduras, se remet à sévir des plus belles ici au Nicaragua. Depuis quelques jours, chaque après-midi ou chaque soir, par petits moments, des trombes d'eau résonnent sur les toits de tôle sans aucunement rafraîchir l'atmosphère. Soudainement aussi, les manguiers se mettent à fleurir, la canne à sucre est ornée de fleurs blanches qui suivent la direction du vent et les arachides se récoltent. C'est un très beau tableau je vous le dis.
Un jeune et beau couple de Turques, rencontré sur le bateau de San Jorge vers Isla Ometepe, on the road depuis 14 mois, vient de m'expliquer que pour eux, ne pas boire une bière un soir, ou tous les soirs, leur permet, d'une façon très significative, de rester plus longtemps on the road. Ils ont commencé leur aventure en donnant une préférence amoureuse à la Mongolie. Toute la soirée ils parleront d'ailleurs de ce pays avec des yeux qui brillent. Ils s'expriment dans un anglais parfait ce qui nous facilite la conversation. Quelle bonheur de les entendre raconter certaines de leur histoires vécues.
Et cet après-midi aussi nous avons rencontré David, un médecin équatorien d'une cinquantaine d'années, son fils Nico de 13 ans et un ami chilien Clémente qui a 17 ans. Tous les trois sur un vélo. David travaille et vit maintenant à Boston, Massachusetts avec sa famille. Ils sont partis de Seattle et vont jusqu'à Quito. On pense toujours être tributaire dans la vie de certaines priorités...et en fait...quelle bonheur quand on enfreint cette loi!







Aussi, après 5 semaines de vie commune avec André, ce matin, pour la première fois, j'ai du le réveiller!
Serait-ce l'émotion de la dégustation du Carmenere chilien de hier soir?

 Un peu de Suzanne et Marc?



Photographie d'une chenille nicaraguayenne...










Granada










Lago Nicaragua

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