samedi 16 janvier 2016

Kalbarri



Le continent australien est immense.
Depuis, tout le monde le sait.
Cet immensité me surprend chaque fois de nouveau.
Comme si je l'avais oublié.
Les distances ne se mesurent plus, on en parle pas, on les fait.
L'immensité est accentuée par ce qu'on ose appeler "la monotonie du paysage".
Et pourtant, après quelque temps, on apprend à apprécier et à estimer les différentes sortes de bush.
Surtout le matin, à tête fraîche, le paysage parle d'avantage.
La couleur du bush et la couleur de sable, on retrouve toutes les teintes de l'arc en ciel.
Des buissons peints en vert qui peut devenir un jaune, un bleu, un gris ou carrément un noir.
Le sable blanc devient, et d'un coup sec, jaune clair ailleurs, gris ou rouge brique.
Des flaques d'eau, grandes comme plusieurs terrains de foot, formées par les pluies de la saison humide, font pousser une végétation à part. Elle s'étale comme un tapis monstre de couleur marron au milieu du vert des buissons qui tranche merveilleusement.
Quand je vous montrerai des fleurs c'est que je suis allé les chercher dans ce tableau. Nous sommes en plein été et, comme chez nous, l'été est en fait une saison morte comme l'est l'hiver. 


Remarquez comment la pancarte correspond à la réalité.
The Pink Lake à Port Gregory est colonisé par des algues roses qui sont extraites pour être utilisées en cosmétique.




La flore que j'ai trouvée dans le Kalbarri National Park











A peu près toute la côte Ouest est constituée de limestone, du calcaire.
A la hauteur de Kalbarri, du sandstone, du grès, est responsable de jolies formations de cliffs. 





















Le Merchuson River qui a creusé un petit canyon dans le Kalbarri Park.





Après l'effort, le re-confort.

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